• Les baleines dans l’onde en un trouple dansant, et vlan.
• Buti­nage à la plage : un à droite, un à gauche, vague au centre.

• Une tortue pres­te­ment grimpe un dos avenant, et paf.
• Un feu rouge oppor­tun pour faire son bara­tin, et tout bascule.

• Un coli­bri exhibe son plumage, son rival se pavane et vioufff.
• Rose aux joues en salle de sport prête à sous-esti­mer l’ef­fort.

• La grosse bête qui entre dans ma chambre, je m’en fiche, je dors.
• La petite bête noire qui rampe sur le mur, je m’en fiche, j’ai laissé la lumière allu­mée.

• Il a faim le jouli minou ! Mmm, vient jouli minou, j’ai une bonne pâtée pour toi !
• Va-t-en vilain minou ! Je veux plus te voir, laisse-moi tomber !

• L’arai­­gnée a faim, très faim. Elle veut du sang, DU SANG !
• La four­­chette a faim, très faim. Elle veut du boudin, DU BOUDIN !

• Un cadre vert veut conte­nir une pelote de ronds, mais fi des grilles, de belles bulles envoient bouler les barreaux.
• Allez, les ronds, en rang ! Pres­sons, pres­sons, et faisons d’un carré vert sautillant le moteur d’un noyau entraî­nant.

Deux couleurs, deux formes au crayon feutre pour un jeu de mains malin prêt à être mis en musique. Des flip books pour les bébés, mais pas que !

• Des ronds verts jouent à saute-mouton sur des triangles rouges, se courent après, s’en­tre­lacent et se tissent.
• C’est reparti : on se tisse, on se détri­cote, on se sépare, on s’as­semble, comment cela va-t-il finir ?

Deux couleurs, deux formes à l’aqua­relle, pour un jeu de mains malin, un mouve­ment prêt à être mis en musique. Pour les bébés, mais pas que !

Quatre petits triangles qui s’en­volent fleu­rissent et farfouillent…

Deux couleurs, deux formes en papier découpé, pour un jeu de mains malin, prêt à être mis en musique. Des flip books pour les bébés, mais pas que !

Au recto : Oui, la météo a une influence capi­tale sur l’hu­meur. Mais ce n’est rien à côté de son inci­dence sur les couvre-chefs.

Au verso : Avec l’hu­mi­dité, madame a les cheveux qui frisottent. Et avec la foudre ?

Au recto : Un person­nage dans une cabane de rondins de bois dort dans un lit de bois. Dans son cauche­mar, il découvre la vraie vie des rondins et se fait décou­per dans tous les sens.

Au verso : Un person­nage dans une cabane de rondins de bois dort dans un lit de bois. Dans son rêve, il entre­voit comme il est bon d’être un arbre.

Au recto : Une longue méta­mor­phose, pendant laquelle un homme dans son lit se trans­forme de mille manières avant de reve­nir au point de départ.

Au verso : Un escar­got avance lente­ment vers une peau de banane, que va-t-il se passer ?

Au recto : Un petit point noir, qu’un gros index vient titiller. Il devient bacté­rie, puis pois­son et c’est la chaîne de l’évo­lu­tion jusqu’à l’homo-sapiens tout nu.

Au verso : L’homo-sapiens s’ha­bille de peaux de bêtes, puis de vête­ments médié­vaux, et ainsi de suite jusqu’au costume-cravate, puis il meurt et le voici Dieu. Dieu met le doigt dans son nez et en sort un petit point noir.

Un gros morse se fait tailler les mous­taches en pointe par un petit crabe.

Un gros ours affamé perturbe la vie tranquille d’un essaim, ça ne va pas se passer comme ça !

Un cacha­lot et de toutes petites crevettes, soit super­mé­gaGo­liath contre micro­mi­croDa­vid.

Une aigrette qui dort, un escar­got qui chemine, et paf, un coup de théâtre imprévu !

Un chas­seur passe à la casse­role après avoir tiré une carotte.

Un Inuit qui pêche dans les égouts, c’est comme un canton­nier qui travaille sur la banquise.

Un tennis­man renvoie tout ce qui lui passe par la fenêtre, tandis qu’un amou­reux timide tombe sur un lit.

Sirène qui prend son bain cherche homme chan­tant qui prend sa douche.

Magi­ciens, atten­tion : ce mois-ci ne vous décou­vrez pas.

Se méfie-t-on assez des grenouilles ?

Un bonnet d’âne, un sifflet, la vie est belle !

On part pour un tour en bateau et on tombe sur un gent­le­man.

Variez vos salades, Juhyun Choi
Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, agré­mente vos salades en deux temps trois mouve­ments.

Égayez vos sand­wichs, Otto T.
Assaillie par des mains bala­deuses, Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, ne se laisse pas impres­sion­ner.

Les flips de couple : dos à dos, deux auteurs en couple racontent une histoire de couple. Les deux côtés se répondent, se complètent, se font des papouilles ou se mordent la queue.

À table, Tomate
C’est à travers les gestes simples et les petits bonheur du quoti­dien que la vie de couple prend toute sa saveur. Un dîner aux chan­delles, un de plus.

Au lit, Lénon
Un lit, c’est un droit. C’est donc aussi un combat.

Les flips de couple : dos à dos, deux auteurs en couple racontent une histoire de couple. Les deux côtés se répondent, se complètent, se font des papouilles ou se mordent la queue.

La chose du pot de confi­ture se met au vert. La chose du pot, l’ami du petit déjeu­ner, accom­pa­gnera égale­ment vos grillades.

Lors de ses vies précé­dentes, la chose du pot s’est appe­lée :

• La chose du pot de confi­ture (1ère édition, 1998)
• La chose du pot de corni­chons (2ème édition, 2006)

A-t-on idée de l’ef­fet des gaz carbo­niques sur notre méta­bo­lisme ? Un exemple qui illustre les consé­quences drama­tiques de la pollu­tion.

Délices, Benoît Guillaume
Le calme du jardin des délices est trou­blé par un couple qui se dispute le fruit défendu. Mais même dans le jardin des délices, tout est prévu pour se débar­ras­ser des impor­tuns.

Palpite, Barbara Malle­ville
Une curieuse créa­ture, puis deux, puis trois, dansent la sara­bande dans les bois, au rythme cha cha cha d’un cœur qui bat.

Les flips de couple : dos à dos, deux auteurs en couple racontent une histoire de couple. Les deux côtés se répondent, se complètent, se font des papouilles ou se mordent la queue.

D’un trans­port élémen­taire, Laure Del Pino griffe une boucle toute en volutes : nappée et tenta­cu­laire, son emprise nous cueille tel un beau vase commu­ni­cant. Il pousse, il pousse, le petit bout de buis­son. Il pousse et il nous happe.

On les connaît, ceux qui disent que pour prendre un bon départ dans la vie, il faut se propul­ser vers l’ave­nir, frap­per un grand coup… Pour­tant, certains n’ont pas les épaules pour ça.

La star de la soudure confond encore le fer à souder et la meuleuse. C’est pas grave, il est juste là pour nous en mettre plein les yeux.

Rappe­ler de manière muette et agitée que Molière n’a jamais craché dans la soupe, tel est le chal­lenge de Morvan­diau dans ce bouillant hommage.

Le diable de la Techno s’est emparé du corps de notre héros. Il danse, il danse, il ne sait plus s’ar­rê­ter, quand soudain, il a trop chaud…