Jérôme et la route

Jérôme et la route

La cani­cule pèse sur la ville, et les clients se font rares à la librai­rie : le patron encou­rage Jérôme à prendre le large, car l’en­nui est un art trop subtil pour un jeune apprenti. Aussi, lorsque Sultana annonce qu’elle quitte le village pour aller faire ses études dans la grande ville, Jérôme décide de l’ac­com­pa­gner. La petite fille est bien déci­dée à faire de même, mais ils la jugent trop jeune pour cela et lui cachent le moment de leur départ. Voya­geant l’une en train, l’autre en roulotte, Sultana et Jérôme finissent par se rejoindre pour chemi­ner de concert, et oublier ainsi l’an­goisse d’af­fron­ter la ville. Jérôme renoue avec ses rêves d’écri­vain-voya­geur, et Sultana se prend au jeu…

Dans Jérôme et l’arbre, les velléi­tés voya­geuses de Jérôme, brusque­ment contra­riées, le plon­geaient dans un vertige immo­bile. Dans ce cinquième volume, Nylso et Marie Saur l’en­trainent loin de son village, avant d’en­ta­mer un nouveau cycle sur la ville.